Mes coups de gueule (topik sérieux)

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Reuters - Mercredi 23 avril, 13h27PARIS (Reuters) - Les journalistes présents dans la cour de l'Elysée ont déposé caméras, micros et enregistreurs pour protester contre un nouveau dispositif de confinement de la presse lors de la sortie du conseil des ministres.


C'est traditionnellement l'occasion d'interroger au vol les membres du gouvernement dans une cohue bon enfant.

Mercredi, les services de la présidence avaient installé un cordon pour maintenir les journalistes sur un côté de la cour, loin du passage des ministres.

Après une première menace de grève des micros et caméras, ce cordon a été déplacé mais sans que le mouvement des journalistes en soit vraiment facilité.

Ces derniers n'ont alors pas repris leur matériel, aligné au pied du cordon, et sont restés à trois pas en arrière, sans poser la moindre question à des ministres éberlués.

"Qu'est-ce qui se passe ? Vous ne posez pas de questions ?" a ainsi demandé la ministre de l'Economie, Christine Lagarde, qui a marqué une hésitation avant de rejoindre sa voiture.

La majorité des journalistes a ensuite boycotté le compte rendu du porte-parole du gouvernement, Luc Chatel.

Emmanuel Jarry

Ces messieurs de la presse pas contents ?
Les services de l'Elysée les empêchent de travailler ?

Et il leur aura fallu tout ce temps pour s'en apercevoir ?

Nos ''journaleux'' sont des brêles. Depuis des années, l'Elysée les balade, les amuse, leur fait dire tout et n'importe quoi et ils s'en aperçoivent aujourd'hui. Et parce que les services de l'Elysée ont inventé le système anti-surprise qui consistent à les tenir à l'écart...

Mais ils étaient où ces braves journaleux quand un président élevait sa princesse sous les ors de la République, faisait poser des micros chez Carole Bouquet ou Jean Hédern-Hallier ? Ou encore, quand un président faisait des allers-retours au Japon pour s'y constituer un bas de laine, quand il oeuvrait à déstabiliser un dauphin trop entreprenant.

Et ils s'étonnent que le roi actuel de notre pays essaie de les tenir à l'écart ?

Ils auraient du faire mieux leur travail. Ne pas le mettre en photo sur la couverture de leurs journaux quand ils sortait ''incognito'' chez Mickey ou encore quand il se prélassait sur le pont d'un petit bateau de quelques millions d'euros! Ils auraient du faire leur travail. Nous parler de la hausse des prix depuis 2002. Ouvrir leurs colonnes à celles et ceux qui n'arrivent plus à joindre les deux bouts avec des contrats à temps partiel...

C'est vrai, il y en a qui ont fait leur boulot. Qui ont essayé au moins.

Mais voila, les grands patrons de presse ont voulu plaire au nouveau roi...

Allez, ils vont bientôt aller en Chine nos journalistes pour couvrir les jeux. Ils vont pouvoir prendre des cours auprès de leurs collègues chinois... Quand ils reviendront, ça ne leur déplaira plus qu'on les tiennent un peu à distance...

faut dire aussi qu'ils disent tellement de conneries les ministres....


perso j'ai apprécié les caméras au sol et les micros fermés!


et jeudi soir je pense qu'on va zapper le roi/empereur/doutché/ etc...

Je fais partie d'une Fédération de Parents d'Elèves.

La semaine dernière, j'ai assisté aux 3 conseils des 1ère ES (B - Economique et Social - pour les anciens) dont celui de ma fille.

Et bien, sur 90 élèves au total des 3 classes, environ 25 sont proposés (à juste titre) au redoublement, ce qui en soit est déjà incroyable !

Mais le pire est qu'au final, il n'y en a que 2 ou 3 qui redoubleront... c'est-à-dire qui accepterons de redoubler puisque en fin de 1ère, le conseil des profs n'a qu'un avis informel, les parents (et les élèves) pouvant refuser le redoublement sans aucune justification, ni commission d'appel...

Nous retrouverons donc en TES pratiquement tout le monde, y compris ceux qui tournent péniblement autour de 8/9 de moyenne générale, et y compris quelques-uns qui ont séché pratiquement toute l'année et qui ont 5, 6 ou 7 de moyenne...

Toute une classe d'âge avec le bac en poche ??? quelle vaste blague !!!!

et après, on (le ministre) veut mettre en place des formules de soutien pour éviter les nombreux échecs en 1ère année de fac...

bon sang !!! n'y a-t-il personne de censé au ministère ??? c'est bien en amont qu'il faut agir !!!!

Il y a 22 ans, le plus gentil des mimis partaient pour le paradis des saltimbanques...

Hier, une distribution de repas était organisée à Paris (il est d'ailleurs faux de penser que l'action des restaurants du coeur s'arrête le dernier jour de l'hiver). Pour donner à ceux qui manquent bien sur, mais aussi pour démontrer, si besoin était, que 22 ans après la disparition de Coluche, la misère dans ce pays n'a pas reculé...
La préfecture de police avait donné son accord (ben oui ça peut être pris pour une manif des gens qui font la queue pour manger). Malgré cela des policiers ont pris position autour de cette distribution. Les organisateurs leutr ont indiqué qu'ils avaient l'autorisation de leur hiérarchie, ce que savaient les policiers... Mais que venaient ils faire là alors ?
Simplement controler les papiers des bronzés, des nègres et des chinetoques (entre autres) qui venaient manger! Pardonnez moi d'utiliser des mots aussi durs et bêtes pour désigner des êtres humains qui n'ont pas la même couleur de peau que moi, mais je crois que ce sont les mots que ceux qui ont décidé cette rafle utilisent!!!
Car il s'agit bien d'une rafle. Probablement organisée et planifiée.

J'ai honte.

J'ai honte de mon pays qui insulte

la mémoire de Coluche, celui qui créa cet élan de solidarité des restaurants du coeur.

J'ai honte de mon pays qui insulte

les bénévoles de cette institution qui essaie de soulager la misère des humains

J'ai honte de mon pays qui insulte

des personnes qui ont faim, qui souffrent. Parce que la couleur de leur peau...

Honte à ceux qui prennent ces décisions!

Je suis en colère, mais je me calme quand je pense à cet homme...

Les jours de commémoration, il remontait la rue de Montmorency. Il venait de la cité de Vermand et il allait au Palais de Fervaques prendre le bus spécial qui conduisait les porte-drapeaux au monument aux morts.
Il sortait alors son drapeau de l'étui, se rangeait à coté des autres, discrètement, jamais au premier rang... Et la cérémonie terminée, remontait dans le bus et revenait au Palais de Fervaques. Il n'assistait pas au vin d'honneur et repartait à pied chez lui.
Nous avons fait deux fois le retour ensemble. Il parlait peu, se contentant de répondre aux quelques questions que je lui posais...

Il était algérien de nationalité et vivait en France depuis... longtemps. Il avait un permis de séjour et espérait finir sa vie en France auprès de sa famille qu'il avait fait venir. Il s'appelait... mais peu importe son nom! Sur sa poitrine il y avait la valeur militaire et la croix de guerre. Il avait combattu pour moi au Mont Cassin et avait libéré mon pays avec la 1 ère armée...

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